En quoi je crois

Nous ne vivons pas une transformation digitale.
Nous vivons une transformation par le digital.

Une petite différence sémantique, un grand fossé dans l’approche.

Plus il y a de digital, plus il faut de l’humain.

J’exerce aujourd’hui une activité que je n’ai pas apprise à l’école. Toute mon expertise, je l’ai acquise au cours de ma vie professionnelle par la pratique comme commercial terrain, principalement dans l’univers de la communication, avec un avant et un après « internet » dans lequel j’ai basculé en … 1999.

Mon expertise « avant », c’est la grande distribution et la communication en édition publicitaire.

Mon expertise « après », la digitale, c’est un peu d’ergonomie, un peu d’agence web, des tentatives de startup et beaucoup d’email marketing et de réseaux sociaux.

Et une certaine expérience avérée de LinkedIn et de l’influence professionnelle.

Relations humaines et conversations. Et vice versa.

Cette double expérience on/off – parce qu’avoir connu le monde sans internet est un vrai plus pour prendre du recul, je t’assure – renforce ma vision, mes valeurs et mon mode de fonctionnement professionnel.

Je le résume dans ces trois convictions centrales qui me guident :

  • Les marchés sont des conversations (thèse numéro 1 du Cluetrain Manifesto).
  • Les relations humaines sont des conversations (ça, c’est de moi-même).
  • Plus il y a de digital, plus il faut de l’humain (c’est aujourd’hui l’accroche de mon profil LinkedIn).

Ce qui me fait affirmer, et j’en suis persuadé, que nous ne vivons pas une transformation digitale, nous vivons une transformation par le digital. Une petite différence sémantique, un grand fossé dans l’approche.

On en discute autour d’un café ☕️ ?